
Mon approche de psychologue clinicien
J'ai connu une riche expérience professionnelle dans le secteur privé et public avant d'exercer le métier de psychologue clinicien. Du fait de la diversité des diplômes que j'ai acquis (master de psychologie, sociologie, psychanalyse, philosophie), je pratique une approche intégrative et humaniste. Convaincu de l'importance pour le psychologue de se fonder sur la singularité de la vie psychique de chacun, il m'apparaît essentiel d'adapter les outils mis en œuvre, le soutien apporté et la psychothérapie à la situation personnelle de chaque patient reçu. Je fonde ainsi ma pratique sur une écoute active, une réelle interaction et une thérapie par la parole pour toute situation de mal-être, de souffrance psychique, qu'il s'agisse d'angoisse, de stress ou d'anxiété, de dépression, de phobie, d'idées obsessionnelles, d'affections à la frontière entre le corps et l'esprit, d'ordre psychosomatique, ou de souffrance au travail (burn-out, harcèlement professionnel...). Je reçois à mon cabinet lors de consultations d'une heure. Je ne reçois pas de patients de moins de 16 ans.
Adepte de l'interdisciplinarité, ma pratique se nourrit de travaux de recherche que j'ai l'opportunité de mener en psychologie, en psychanalyse et en philosophie sous la direction de chercheurs tels que le Dr Baroudet et le professeur Marquer. Ma démarche et ma pratique s'inscrivent notamment dans la tradition initiée par Charles Blondel et poursuivie par Christophe Dejours et m'a conduit à m'intéresser notamment aux troubles qui touchent le sujet au travail (psychopathologie du travail). L'impact d'une situation de souffrance au travail se révèle en effet très important sur la santé psychique du sujet dès lors qu'il infiltre d'autres pans de sa vie (familiale, amicale, amoureuse). En outre, les symptômes qu'elle induit apparaissent bien souvent très variés et parfois graves (insomnie, troubles psychosomatiques, ruminations mentales, crises d'angoisse, perte d'appétit, asthénie, repli sur soi, perte d'élan vital...). Le travail est un domaine tout à fait essentiel à la bonne santé psychique et il me semble qu'il reste énormément à faire en matière de prévention, de soutien, d'écoute, de thérapie, de recherche, pour permettre à chacun d'exprimer ce mal-être qui ne trouve pas toujours, loin s'en faut, un espace pour pouvoir s'exprimer librement, sans jugement, en une écoute bienveillante. Je m'attache tout particulièrement au cours de ma pratique à mettre en œuvre des outils thérapeutiques précis et adaptés à chaque patient afin de lui permettre de mieux affronter ces situations et de s'épanouir tant d'un point de vue personnel que professionnel dans les conditions les meilleures.